Au bord du gouffre
J’avais crié, j’avais interpellé
J’avais pleuré, j’avais gémis
J’avais demandé de l’aide à maintes reprises
Souffrant de douleurs pour ne pas rompre ma promesses
Pour ne pas ressembler à ces personnes qui t’avais assombris la vie
Comptant sur toi, pensant que tu allais me tendre la main et me secourir
Pensant que tu étais habilité à le faire et que t’avais les bons remèdes
J’ai cru, j’ai cru fermement jusqu’au bout, au point de laisser couler larmes et apparaitre devant tous
L’odeur de la misère me suivait le jour, la nui, les après-midi.
Mes doigts ne pouvaient s’arrêter d’écrire et essuyer ces gouttes de larmes qui remplissaient mon clavier
Oui, j’ai atteint le seuil de la douleurs, de la solitude et du desespoir
Je devais faire un choix, bon ou mauvais, il fallait que je vive et trouve une issue
Quitte à en tirer les conséquences demain, il fallait que je le fasse.
Bonne ou mauvaise personne, peu importe…